L’artiste auvergnat est arrivé à l’art par la peinture au départ, toute technique confondue. La sculpture est venue plus tard, la taille directe puis le travail du bois, mais l’envie d’ajouter de la matière plutôt que toujours en enlever lui est apparue comme une nouvelle expérience.

Le modelage allait devenir son terrain de prédilection, les thèmes de la femme et de l’animal deviennent dominants et enfin les bronzes.

Ce domaine est selon les termes de l’artiste, vaste, complexe, périlleux et enthousiasmant .

Depuis quelques temps, Méta s’est appliqué à représenter des sujets en brisant des plaques de verre, les résultats sont surprenants. Une succession de frappe précises sur le vitrage permet de générer une image en jouant sur les blancs et les noirs, les ombres et les lumières.

Le visiteur voit une image globale faite de milliers d’impacts, alors que le regard du sujet interpelle, qu’il soit animal ou humain.