Richard Orlinski

Disponible à la galerie

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Wild Kong Ajouré

Inox poli miroir

80 cm

8 ex + 4 EA

Cheval Cabré

Résine

40 cm

PLUS DISPONIBLE

Panther Clear Cristal Black

Verre acrylique

70 cm

8 ex + 4 EA

Enceintes connectées Kiwikong & valises Kong Escape

Kiwikong bleu métallisé

PLUS DISPONIBLE

 

Kiwikong rouge brillant

PLUS DISPONIBLE

Kiwikong noir mat

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BIOGRAPHIE

Richard Orlinski grandit dans le 17e arrondissement de Paris. À 4 ans, l’enfant précoce qui déborde d’idées offre à sa maîtresse des petits modelages d’éléphants et d’hippopotames. Il suit des cours de poterie, son talent est repéré, et ses sculptures en terre cuite sont présentées dans un reportage télévisé sur les jeunes prodiges.

Il se passionne jeune pour le modélisme, la harpe, la batterie, l’électricité et la course de vitesse, devenant même champion de France en 1976, à l’âge de 10 ans. Ses parents divorcent en 1978. il évoque le départ de son père comme une « délivrance ».

À l’adolescence, il étudie au lycée Pasteur, fait du théâtre et de la musique. Il décroche un bac économie, obtient un Deug à l’université Paris-1 puis intègre le MBA Institute, une école de commerce. Il est coursier pour payer ses études. Étudiant, il se remet à sculpter suite à des visites d’expositions, et découvre les grands maîtres de la peinture et de la sculpture.

Richard Orlinski s’inscrit alors dans une école d’arts plastiques, il dessine, peint, puis se concentre sur la sculpture, fasciné par la diversité des matières qu’il peut utiliser et la prise en compte des trois dimensions.

Diplôme en poche, il exerce les métiers de designer et d’architecte d’intérieur, travaillant également dans l’immobilier et l’événementiel. Il sculpte pendant ses loisirs. Au début des années 2000, il montre ses croquis à des personnalités du monde de l’art qui sont séduites par son travail. La galerie Artcurial lui propose de l’exposer, il refuse car il trouve que ses œuvres ne sont pas assez abouties mais il décide de se consacrer pleinement à l’art. Il quitte ses fonctions professionnelles et travaille deux ans avant de présenter au public en 2004 le Crocodile Born Wild en résine rouge.

Les galeries commencent alors à s’intéresser à son travail. Initialement boudé par le milieu parisien, il expose à Aspen (États-Unis) ou Val-d’Isère et Courchevel Il est exposé à la Fiac en 2006. Rapidement sa cote grimpe (source Artprice 2006 à 2016). Ses œuvres se multiplient et rejoignent des collections dans le monde entier. Des personnalités comme Sharon Stone et Pharell Williams comptent parmi ses premiers clients. En 2014, il a vendu une œuvre (une pin-up jaillissant de la bouche d’un crocodile en or) pour 15 millions d’euros. Il s’attaque à de nouveaux matériaux : la résine toujours, mais aussi le bronze, le marbre, le cristal, l’aluminium et même le chocolat. Il réalise également des collaborations avec le chocolatier Jean-Paul Hévin, le chef Frédéric Anton, la cristallerie Daum, l’orfèvrerie Christofle et le parc Disneyland Paris. Sa pièce phare Wild Kong, figure au siège de Twitter France. En 2016, ses œuvres sont présentées dans 90 galeries dans le monde. Soucieux de rendre l’art accessible au plus grand nombre, Richard Orlinski poursuit également ses expositions à ciel ouvert.

Dans son atelier, le sculpteur fait travailler entre 100 et 150 personnes (fondeurs, mouleurs, soudeurs, polisseurs, peintres, menuisiers, marbriers) et créé un atelier de pliage inspiré des techniques de la carrosserie dans la Formule.

Curieux de nature et désireux d’exprimer sa sensibilité à travers d’autres disciplines, il décloisonne les formes d’art pour sculpter des sons et des mots. Il engage une collaboration avec les chanteurs Akon et Eva Simons. En 2017, il jouera dans le film Les Effarés de Francis Renaud.

Richard orlinski

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